Partenariats européens et internationaux
L'Université Gustave Eiffel a signé plus de 350 accords de partenariat avec des établissements d’enseignement Supérieur et de Recherche (ESR) dans le monde dont 17 partenariats structurants : 1 alliance européenne, 3 Instituts internationaux, 6 Laboratoires Internationaux Associés (LIA), 2 International Research Projects (IRP-CNRS), 2 International Research Networks (IRN-CNRS) et 3 Hubs internationaux.
Partenariats structurants
Alliance européenne
L’Alliance PIONEER est un réseau européen sur la ville, impulsé par l’Université Gustave Eiffel, composé de 9 universités complémentaires et d'un partenaire associé dans le domaine des sciences sociales et des sciences de l'ingénieur, proposant toutes des formations liées aux villes de demain :
- University Institute of Lisbon (ISCTE-IUL, Portugal)
- University of Applied Science (LAUREA, Finlande)
- University of Applied Sciences (TH Köln, Allemagne)
- University of Žilina (UNIZA, Slovaquie)
- Université Gustave Eiffel (France)
- University of Applied Sciences (AVANS - Pays-Bas)
- University of Huelva (Espagne)
- University Tomas Bata (ZLIN - République Tchèque)
- University of Venice (IUAV - Italie)
- University of Applied Sciences (Bern - Suisse) Partenaire associé
L’objectif de l’Alliance PIONEER est de co-créer une offre éducative européenne unique, s'appuyant sur les atouts des partenaires, avec un accent sur les villes du futur, et couvrant les 6 domaines suivants :
- Génie civil pour les zones urbaines neutres en carbone
- Sûreté, sécurité et gestion des risques pour les villes résilientes
- Solutions améliorées par la technologie pour les villes intelligentes
- Conception de services pour les futures villes durables
- Vie urbaine et tourisme durables
- Économie circulaire pour les citadins
Avec ce modèle global d'apprentissage et d'innovation, l'Alliance PIONEER relie les activités et les acteurs à travers l'Europe pour développer et mobiliser une nouvelle génération d'apprenants, de producteurs de connaissances et d'entrepreneurs pour les villes et les sociétés futures.
Les universités et les villes associées rassemblent les acteurs concernés et créent un écosystème qui agit comme un incubateur pour l'engagement des citoyens européens, saisissant les opportunités et relevant les défis des villes futures, dans la perspective 2030.
L’Alliance concerne :
- 130 000 étudiants et étudiantes
- 16 000 personnels
- 34 campus
Instituts internationaux
Depuis janvier 2021, l'université Gustave Eiffel est un des opérateurs de la coopération Franco-Sud-Africaine F'SATI, institut localisé en Afrique du Sud à Pretoria et au Cap dans deux universités partenaires, la Tshwane University of Technology (TUT) et la Cape Peninsula University of Technology (CPUT).
L'université Gustave Eiffel a entre autre la responsabilité de la Direction de la coopération et du développement du F'SATI avec pour objectifs :
- D'une part, de continuer à assurer la présence de l’université dans la coopération dont sa présence au conseil de Direction de l'institut,
- D’autre part, de soutenir et poursuivre le développement de cet institut coopératif en favorisant les visites de chercheurs/enseignants entre les institutions, de multiplier les échanges d'étudiants principalement au niveau master et doctorat, et de mettre en place des formations conjointes au niveau master et des thèses en co-tutelle au niveau doctorat.
C’est une mission transformante pour l’université grâce à son implication dans un partenariat structuré avec des universités de la zone Afrique subsaharienne. Ce partenariat implique la vice-présidence internationale sur le support aux développements de projets communs entre les deux pays et sur le volet internationalisation des formations.
L'institut des Amériques est un Groupement d’intérêt scientifique (GIS) créé en 2007 et qui est composé d'une cinquantaine d'établissements français d'enseignement supérieur et de recherche. L’Université Gustave Eiffel est membre de ce réseau qui fédère en France les études en SHS sur les sociétés des Amériques, valorisant différentes approches scientifiques dans une optique comparatiste, transaméricaine et transdisciplinaire. L’institut promeut ainsi un échange intellectuel au niveau national, européen et mondial sur les grandes problématiques de recherche touchant les Amériques, sur plus d'une 20aine de disciplines.
L’Université Gustave Eiffel et le DLR (Allemagne) ont uni leurs compétences pour créer l’institut de recherche « hors–les murs » intitulé INNOMOB. Cet institut couvre deux parties différentes.
INNOMOB1 se caractérise par un programme scientifique partagé et pérenne autour des questions d’innovation pour la mobilité et le transport en Europe.
Les travaux menés se structurent autour de 4 axes :
- L’analyse des évolutions de la mobilité des personnes et des biens ;
- Les nouvelles données ou les nouvelles méthodes de collecte de données pour l’analyse des mobilités ;
- Les nouvelles modalités d’aménagement en faveur de mobilités plus durables ;
- Les innovations technologiques et nouvelles mobilités : quels usages ? Quelle acceptabilité ? Quelle optimisation de la performance énergétique des véhicules ?
INNOMOB2 se focalise davantage sur les technologies innovantes et leur usage pour la mobilité durable.
Les travaux se structurent autour de 6 challenges :
- Commande de contrôle ferroviaire, ERTMS/ETCS, signalisation, gestion du trafic, sécurité, exploitation ferroviaire, énergie ;
- Localisation, cartes numériques, capteurs ;
- Communication, sécurité informatique, (routier, ferroviaire, aérien, satellite, etc.) ;
- Maintenance des infrastructures (Inspection, Diagnostic, Big Data, Prédiction) ;
- Facteurs Humains : Interaction Homme-Système, Acceptation, Ergonomie ;
- Assistance à la conduite routière, gestion du trafic routier, STI.
Laboratoires Internationaux Associés (LIAs)
Créé en 2016 puis renouvelé en 2023, le LIA ECOMAT (Ecomatériaux pour les infrastructures et le bâtiment) entre l'Université de Sherbrooke au Canada et l’université Gustave Eiffel vise à favoriser l’intensification de la formation, de la recherche appliquée et de l’innovation dans le domaine des éco-matériaux pour la construction en vue de réduire l'impact environnemental.
Le LIA ECOMAT implique des personnels des partenaires fondateurs et des partenaires associés qui contribuent à la mise en œuvre et à l’exécution du programme scientifique du LIA ECOMAT défini par six objectifs :
- Valoriser des sous-produits industriels et des matériaux locaux dans le secteur des infrastructures ;
- Réduire les empreintes environnementales générées lors de la fabrication des matériaux de construction ;
- Étudier les perspectives d’utilisation de matériaux biosourcés et de liants à faible émission de gaz à effet de serre lors de leur fabrication ;
- Comprendre et augmenter la durabilité des matériaux de construction ;
- Mettre à l’échelle et réaliser des démonstrateurs ;
- Participer au transfert de technologie.
Le LIA ECOMAT est dirigé par un Directeur (trice) de l’Université Gustave Eiffel, secondé par un(e) Directeur (trice)-Adjoint(e) de l'Université de Sherbrooke, pour un mandat de 5 ans à compter de 2023. La direction est entourée de Responsables de projet, d’un comité d’orientation ainsi que d’une Assemblée des chercheurs.
Inauguré à Montréal en 2019 en partenariat avec l’Université Lyon 1, l'Université Gustave Eiffel, la TÉLUQ, l’ÉTS et l’Université de Montréal, le LIA EVASYM vise à combiner les expertises de chacun pour mener des projets de recherche autour de deux axes principaux :
- le vieillissement et le handicap ;
- l’orthopédie et la traumatologie.
« La faculté de médecine et l’Université de Montréal tiennent à vous féliciter et à vous assurer de son plein soutien dans cette collaboration dont les thématiques s’inscrivent dans nos priorités de recherche. Nous sommes heureux de constater que l’approche “living lab” prendra encore plus de place au travers de ce partenariat qui bénéficiera d’un milieu de recherche exceptionnel. » Christian Baron, vice-doyen à la recherche et au développement de la faculté de médecine de l’Université de Montréal de 2015 à 2020.
Le LIA ICCAM est le résultat d'une collaboration fructueuse initiée il y a presque 20 ans entre l'Université Gustave Eiffel et l’Université Technologique du Queensland (QUT-Australie). Les thématiques de recherche concernées sont les suivantes :
- enjeux urbains,
- mobilité automatisée (l'humain, la technologie, les infrastructures et le trafic).
Le LIA iLab-Spine, soutenu par l’initiative d’excellence A*MIDEX, est le fruit d’une longue collaboration depuis 2008 entre chercheurs de l’École Polytechnique de Montréal, du CHU Sainte-Justine, de l’École de technologie supérieure (ETS), de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, de l’AP-HM côté canadien et de l’Université Gustave Eiffeldu CNRS, et d’Aix-Marseille Université côté français.
L’axe fédérateur de recherche du LIA iLab-Spine est l’imagerie et la biomécanique du rachis et de la moelle épinière, avec un intérêt désormais également porté vers la tête et le cerveau. L’objectif principal est de mieux comprendre les mécanismes physiopathologiques et les principes de traitement et de protection dans le cadre des traumatismes et des pathologies dégénératives ou de déformation.
Les recherches menées dans ce LIA s’intéressent plus spécifiquement à 4 défis majeurs, déclinés ici en 4 axes majeurs intrinsèquement liés :
- Construire une connaissance de base et développer de nouvelles techniques pour mieux examiner et améliorer notre compréhension du rachis musculo-squelettique et du système nerveux central sains, pathologiques et traumatiques,
- Améliorer l’évaluation pathologique initiale (diagnostic, pronostic, planning chirurgical) et fournir des méthodes quantitatives pour le suivi de l’évolution des patients,
- Développer et concevoir des méthodes de planification, des techniques chirurgicales moins invasives et des dispositifs médicaux plus efficaces,
- Prévenir l’apparition de lésions du rachis et du système nerveux central lors de situations traumatiques ou en minimiser la sévérité : dispositifs de protection de nouvelle génération et dispositifs de prise en charge d’un trauma du rachis.
L'objectif de NextRIM est de développer la recherche collaborative et l'enseignement entre l'UNIBO et l'Université Gustave Eiffel. Plusieurs départements tels que DICAM, DIN, DISI et PSI à l'UNIBO, et COSYS, TS2 et ESIEE Paris à l'Université Gustave Eiffel participent déjà à l'effort commun, l'ambition étant d'embarquer d'autres départements à l'avenir.
Afin de répondre aux enjeux environnementaux, de gestion du trafic routier, de modélisation des données appliquées au comportement des usagers de la route et aux enjeux de sécurité, NextRIM concentrera ses recherches sur quatre projets distincts :
- Vision routière
- Analyse de données comportementales
- Validité Simulation Immersive
- Gestion du trafic routier
Pour répondre à ses objectifs scientifiques et de formation, le LIA NextRIM met en œuvre un master sur la mobilité durable en milieu urbain, organise des évènements scientifiques bilatéraux (séminaires, écoles d’été), co-encadre des étudiants et étudiantes en master et doctorat, et développe des projets de recherche collaboratifs.
Signé en 2021, le LIA SEnSIN-CT associe l'Université Gustave Eiffel et le Politecnico di Milano.
Le contenu scientifique du LIA est organisé autour des:
- Capteurs et systèmes de surveillance multi-échelles
- Systèmes énergétiques intelligents
- Structures intelligentes et surveillance
L'objectif de SEnSIN-CT est de développer une recherche collaborative et comparative entre POLIMI et l'Université Gustave Eiffel et de fournir un cadre pour :
- Encourager la collaboration scientifique entre l'Université Gustave Eiffel et POLIMI, à travers le montage de projets, qui peuvent apporter une innovation significative dans les domaines de l'IAL ;
- Promouvoir la coopération et les échanges dans le domaine de l'éducation et de la recherche, qui impliquent également des échanges d'étudiant.e.s et de chercheurs.es ;
- Bénéficier de la complémentarité des équipements que suscitent naturellement les recherches partagées du LIA ;
- Transférer les connaissances et l'innovation à l'industrie chaque fois que les projets permettront une association avec des PME ;
- Former par la recherche des chercheurs.es hautement qualifié.e.s qui contribueront à remporter les défis européens des villes intelligentes.
Projets de Recherche Internationaux
L'objectif de ce projet interdisciplinaire est d'étudier, en collaboration avec le Nano Electronic Science and Engineering Lab (NESEL) des systèmes basés sur des nanogénérateurs triboélectriques (TENG) pour la récolte d'énergie mécanique et les capteurs. Dirigé par le professeur Sang-Woo Kim de l'université Sungkyunkwan (SKKU), le projet comprend l'étude du TENG, de son circuit de conditionnement et de son système de gestion de l'énergie. La collaboration est également axée sur les aspects théoriques et expérimentaux.
AMSTEC est un IRP (International Research Project) soutenu par le CNRS et associe en France : l’Université Pierre et Marie Curie - Paris 6, Centrale Supélec, le Commissariat à l'Energie Atomique, l’Ecole Centrale de Lyon, l’Ecole Centrale de Nantes, ENGIE Lab Singapore Pte Ltd, l’INSA de Lyon, l’INP de Grenoble, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’Université de Corse Pascal Paoli, l’université Grenoble Alpes, l’Université Paris Sud et l’université Gustave Eiffel ; en Corée du Sud : la Sungkyunkwan University.
LAFCUS - Modélisation acoustique et simulation numérique dans les domaines génie civil et biomédical
Ce projet Franco-Canadien de recherche UltraSonore (LAFCUS) est un IRP (International Research Project) soutenu par le CNRS, l’Université Gustave Eiffel et l’Université Paris-Est Créteil. Il implique :
- En France : le laboratoire Modélisation et Simulation Multi Echelle (MSME) UMR CNRS 8208 et le Laboratoire de Mécanique et d’Acoustique (LMA) UMR CNRS 7031
- Au Canada : le Département de Génie Mécanique, ETS Montréal (ETS) et le laboratoire de Biorhéologie et d'Ultrasonographie Médicale, Centre de recherche du CHUM, Université de Montréal (UoM)
L’IRP FAFCUS se concentre sur les questions liées aux techniques d’imagerie et de caractérisation ultrasonores, utilisées de façon routinière depuis une trentaine d’années principalement en génie civil et dans le domaine biomédical et en contrôle non destructif. Cependant, de nombreux problèmes restent ouverts tels que la résolution du problème inverse comme la localisation de fissures dans des pièces à géométrie complexe ou l’estimation des propriétés biomécaniques du tissu osseux.
L’objectif du LAFCUS est de réunir des groupes de recherche travaillant dans différents domaines d’applications en France et au Canada. Il s’intéresse à des développements expérimentaux comme par exemple la mise en oeuvre de capteurs multi-éléments adaptés ou la caractérisation par l’utilisation d’ondes guidées qui sont susceptibles de déboucher sur des applications à la fois en génie civil, en contrôle non destructif et dans le domaine biomédical. Il se propose également de développer des outils de modélisation acoustique et de simulation numérique afin de mieux comprendre les phénomènes de propagation ultrasonore dans les milieux complexes concernés, ce qui permettra à la fois de concevoir des configurations expérimentales adaptées et de résoudre le problème inverse.
Réseaux Internationaux de Recherche
L’IRN (International Research Network) GeoMech est un partenariat à l’échelle internationale rassemblant des chercheurs provenant à la fois de la mécanique des solides, de la géomécanique, de la physique et la mécanique des milieux granulaires, des sciences de la terre ou encore de la mécanique des fluides, et travaillant ensemble sur le développement d’outils d’analyse, de simulation et de modélisation pour les problèmes de géomécanique environnementale.
L’IRN GeoMech est soutenu par le CNRS et associe Carleton University, l’École Polytechnique de Montréal, l’université de Kyoto, l’université McGill, Nagoya Institute of Technology, Nagoya University, Northwestern University, Politecnico di Milano, Università degli Studi del Molise, Università degli Studi dell'Aquila, Università degli Studi di Padova, Universitat Politècnica de Catalunya, Universiteit Twente, University of Calgary, University of Melbourne et l’université Gustave Eiffel.
Le réseau SINERGIE (SINgaporean network on renewable enERGIEs), coordonné par le CNRS et NTU Singapour, implique également les partenaires institutionnels français suivants : l’Université Gustave Eiffel (avec 5 composantes de recherche), le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), et l’Université Grenoble Alpes.
Les activités portent sur les thématiques suivantes : Systèmes électriques intelligents, flexibles et résilients - Stockage de l'énergie - Sources et technologies renouvelables - Défis liés aux matériaux pour le déploiement des énergies renouvelables - Bâtiments et villes intelligents.
Hubs internationaux
Cette initiative conjointe de l’ONU Habitat et de l’université Gustave Eiffel en 2021 vise à trouver des solutions tangibles et transformatrices aux défis urbains complexes qui contribueront à l'urbanisation durable. Les partenaires impliqués sont : l’Université Gustave Eiffel, l’ONU Habitat Tunisie, l'Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales de Tunis (Tunisie), l'Institut Supérieur des Technologies de l’Environnement de l'Urbanisme et du Bâtiment (ISTEUB) de Tunis (Tunisie), l’École nationale d'architecture et d'urbanisme (ENAU) de Tunis (Tunisie) et l’Université de Fez (Maroc).
Ce Living lab encourage les idées, les processus et les partenariats novateurs qui contribuent à l'urbanisation durable, à la réalisation des ODD (objectifs de développement durable) et à la mise en œuvre du Nouvel Agenda Urbain (NAU) en Tunisie. Établi en tant qu'installation intégrative, ce Living lab facilitera la collaboration entre un ensemble multidisciplinaire de partenaires, de parties prenantes et d'experts.
Initié en 2021, SaNuiT-Maghreb est un réseau d’enseignement et de recherche en sécurité routière au Maghreb. Il vise à échanger sur les problématiques, les enjeux et les bonnes pratiques en ce domaine, en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Il s'agit de promouvoir :
- L’enseignement de la sécurité routière au Maghreb, via des modules ou des sujets de stage ou de mémoire de fin d'études en sécurité routière (dans les masters existants en statistique, santé publique et épidémiologie, économie et gestion, sciences humaines et sociales transport, logistique et environnement durable par exemple),
- La recherche universitaire en sécurité routière, en proposant des sujets de thèse en sécurité routière, dans le cadre des écoles doctorales, en cotutelle ou en codirection, entre le Maghreb et la France.
Les partenaires impliqués au Maghreb sont :
- En Tunisie : Université de Sfax, ESSAI (Ecole Supérieure de la Statistique et de l’Analyse de l’Information), ISTL (Institut Supérieur du Transport et de la Logistique) de Sousse, ONSR, INSP (Institut National de la Santé Publique), UMU-ChocRoom, Département d’Epidémiologie et de Médecine Préventive du CHU Charles Nicolle
- En Algérie : Université de Batna1, ENST (École Nationale Supérieure de Technologie) Alger, EPSP (Etablissement Public de la Santé de Proximité) Guelma, Médecine du travail CHU Oran
- Au Maroc : Université de Casa/FLSH de Mohammedia, Unité d’Epidémiologie du CHU de Casa, ASMAMAP de Casa
Créé en 2023, le hub international Waste to Wealth (W2) porte sur la “Valorisation des matériaux tropicaux avec des déchets bio sourcés/fibrés et développement de liant alternatif à faible empreinte carbone”.
Coordonné par l’Université Gustave Eiffel, le réseau inclut les partenaires suivants : l’Université Lasalle de Rouen, l’Université de São Paulo (USP - Brésil), l’Université de Fukuoka (Japon), l’Université de Waterloo (Canada), l’Ecole supérieure Polytechnique d’Antananarivo (Madagascar), l’Ecole supérieure des Sciences Agronomiques d’Antananarivo (Madagascar), le Centre National de Recherche Industriel et technologique (Madagascar).