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« Recherches en société », une nouvelle collection de dossiers sur Reflexscience

Avec sa nouvelle collection de dossiers « Recherches en société », l’Université a souhaité mettre en valeur la diversité des acteurs impliqués, leurs intérêts à s’associer et les clés du succès de cette collaboration …

Partez, à travers le témoignage de ces acteurs académiques et non académiques, à la découverte de ces projets de recherche participative sur le portail web Reflexscience.

 

Pour des recherches plus accessibles aux déficients visuels

Avec Valérie Renaudin, directrice du laboratoire GEOLOC de l’Université Gustave Eiffel, Michel Ferrant, bénévole au sein de l’antenne nantaise de l'association Valentin Haüy, et David Galantin, membre de l'association CLISSAA Voir et Agir.

En voulant concevoir un outil de guidage sur smartphone dédié aux personnes déficientes visuelles dans le cadre du laboratoire commun inmob, l’équipe du laboratoire GEOLOC de l’Université Gustave Eiffel a pris conscience du manque d’accessibilité de son matériel de communication pour les malvoyants avec lesquels elle souhaitait collaborer.

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Une étude inédite sur le vécu réel des personnes déficientes visuelles

Avec Caroline Pigeon, Laboratoire Ergonomie et Sciences COgnitives pour les Transports (LESCOT), Université Gustave Eiffel, Mireille Prestini, Fédération des Aveugles et Amblyopes de France et Michel Rossetti, Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles.

L’étude Homère met à disposition des données inédites qui éclairent sur le vécu des personnes déficientes visuelles et notamment sur les difficultés qu’elles rencontrent dans différents aspects de leur vie quotidienne. 

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Une analyse locale et collective de l'eau et de ses usages
 

Avec Mathieu Goriaux, Ingénieur de recherche au Laboratoire Eau et Environnement (LEE) de l’Université Gustave Eiffel et Tiphaine Hinault, directrice du CPIE Logne et Grand-Lieu.

Présence de pesticides ou de produits phytosanitaires, réchauffement climatique, épisodes de sécheresse,… La qualité et la quantité de l’eau potable sont devenus un véritable enjeu écologique et de santé publique pour les communes. À Machecoul-Saint-Même, commune d’environ 7 600 habitants, la présence de contaminants dans l’eau de la nappe phréatique inquiète. Lancé à l’initiative du Laboratoire Eau et Environnement (LEE) de l’Université Gustave Eiffel, le projet QUEPEP (Qualité et Usages de l’Eau de Pluie et Eau de Puits) a permis de mener deux campagnes de prélèvements afin de proposer un diagnostic affiné destiné à prendre la pleine mesure de cette problématique. Réalisées en 2021 et 2022, ces campagnes se sont déroulées dans les jardins d’habitants volontaires de la commune.

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Cartographier les bruits d’une ville grâce à ses habitants

Avec Arnaud Can, chercheur en acoustique à l’UMRAE (Université Gustave Eiffel / Cerema) ; Philippe Audubert, adjoint Politique publique en faveur des personnes âgées et de la prévention de la santé à la Ville de Rezé et Emilie Rossa, Directrice environnement à la Ville de Rezé.

Le projet SonoRezé, fruit d'une collaboration entre l'Université Gustave Eiffel et la commune de Rezé, vise à impliquer les citoyens dans le diagnostic des environnements sonores à l'échelle urbaine. Rezé, située au sud de Nantes, offre un paysage acoustique varié avec ses infrastructures et ses zones naturelles. 134 habitants volontaires ont utilisé l'application NoiseCapture sur leur smartphone pour collecter des données sonores de décembre 2021 à juin 2022, dans le cadre de cette initiative dirigée par l'UMRAE.

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Kréol lé parèss ? Les ultramarins victimes de préjugés

Avec Yannick L’Horty, enseignant-chercheur en sciences économiques à l'Université Gustave Eiffel et Alice Murgier, responsable du Pôle juridique de SOS Racisme.

Le projet MELODI-DOM met en lumière la discrimination à l'embauche basée sur l'origine dans les départements d'outre-mer (DOM). Cette étude, réalisée en Martinique, en Guadeloupe, à La Réunion et à Paris, a utilisé des tests de discrimination pour évaluer l'accès à l'emploi des personnes originaires des DOM et des quartiers prioritaires de la ville.
 

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Imaginer un futur commun autour d’une carte 

Avec Alice Mounissamy, journaliste et médiatrice scientifique, cofondatrice de l’association Nantes Futurable et Jules Sekedoua Kouadio, ingénieur de recherche au Laboratoire Eau et Environnement (LEE) de l'Université Gustave Eiffel.

Futurable est un jeu sérieux conçu en 2018 par l'association Nantes Futurable, en collaboration avec des chercheurs de l'Université Gustave Eiffel. Il vise à explorer notre adaptation au changement climatique en mettant en dialogue les connaissances citoyennes et scientifiques. À travers divers formats tels que le jeu de rôle cartographique et le jeu à causer, Futurable encourage la réflexion collective sur les enjeux climatiques et la recherche de solutions d'adaptation sur des territoires réels.

 

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Quand chercheurs et citoyens miltants coopèrent

Avec Amina Béji-Bécheur, professeure des universités en Gestion à l’Université Gustave Eiffel et Anthony Marque, porte-parole du Collectif pour la Narse de Nouvialle.

Le projet OAC-La Narse explore les synergies entre citoyens engagés dans la préservation territoriale et chercheurs étudiant les initiatives alternatives. Située dans les plateaux volcaniques du Cantal, la narse de Nouvialle est menacée par un projet d'extraction minérale, malgré son statut de site Natura 2000. Le Collectif pour la Narse de Nouvialle, formé en association en 2021, cherche à s'opposer à ce projet et propose une alternative économique durable. Pour passer de l'opposition à la proposition, le collectif s'appuie sur l'aide et l'expertise des chercheurs du projet OAC-NS, de l'Institut de Recherche en Gestion (IRG).

 

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Si la Seine nous était contée

Avec Youssef Diab, professeur de Génie urbain à l'Université Gustave Eiffel, membre du Lab’URBA et directeur scientifique à l'EIVP et Bernard Landau, président de l’association La Seine n’est pas à vendre (SPAV).

Le projet "La Seine en commun" vise à intégrer la perspective citoyenne dans l'aménagement territorial en valorisant la participation des riverains du fleuve. Confrontant l'approche technique des chercheurs du Lab’URBA avec le regard subjectif des habitants, le projet explore la gestion des crues et les enjeux environnementaux de la Seine. En réunissant les compétences des enseignants-chercheurs en génie urbain et l'expertise des membres de l'association "La Seine n'est pas à vendre", l'objectif est de créer une vision partagée, où les savoirs se complètent pour une meilleure compréhension des besoins et des perspectives des citoyens.

 

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Imaginer une ville où il fait bon vieillir

Avec Luciana Castro Gonçalves, enseignante-chercheuse spécialiste de l’innovation collaborative à ESIEE Paris et Sylvie Dhalleine, ex-directrice de la Maison des Ainés et des Aidants Paris Ouest.

Le projet CAPACité se concentre sur le bien-vieillir en ville en impliquant activement les personnes âgées de Paris et d'Ivry-sur-Seine dans la co-construction d'une ville inclusive pour le futur. Pendant un an, quatre chercheuses ont travaillé avec des seniors pour comprendre leurs besoins et aspirations en matière de vie urbaine. En collaboration avec des partenaires spécialisés dans le grand âge, ils ont identifié une cinquantaine de propositions visant à améliorer la mobilité, le bien-être, l'apprentissage, la santé, l'approvisionnement, le travail et le logement en ville. En plus de répondre à la question complexe du bien-vieillir, le projet explore l'utilisation du design thinking pour favoriser la participation des populations vulnérables dans l'élaboration des politiques publiques, une démarche cruciale compte tenu du vieillissement de la population urbaine.

 

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