Un master en apprentissage ? Sautez le pas avec l’Université Gustave Eiffel
Avis aux futurs étudiants de master, une nouvelle étape dans vos études débute : les inscriptions sur la plateforme Mon Master sont ouvertes à partir de ce lundi 26 février. Choisir son master représente un « moment déterminant pour sa future carrière » rappelle Muriel Jougleux, vice-présidente Partenariats et Professionnalisation de l’Université Gustave Eiffel. Mais comment sélectionner le bon master ? Aux questions sur les compétences et connaissances apportées par le master, son taux de réussite, son taux d’insertion ou son classement, s’ajoute une autre interrogation : faire son master en apprentissage ou non ?
L’Université Gustave Eiffel, 1re université française en apprentissage
Pour se confronter au plus vite aux situations professionnelles ou pour financer ses études, l’apprentissage permet d’allier enseignements académiques et compétences acquises sur le terrain. Cette modalité pédagogique enregistre par ailleurs un meilleur taux d’insertion, un temps d’accès au 1er emploi plus rapide ainsi qu’un salaire plus important que les diplômés de masters en formation initiale (lire encadré). Convaincu ? Pour sauter le pas rien de mieux que de se tourner vers la première université française en apprentissage. En relation avec plus de 1 000 entreprises partenaires telles que Veolia, EDF, Orange ou Sisley, l’Université Gustave Eiffel propose 52 masters en apprentissage dans les quatre domaines de formation existants : Arts, lettres, langues ; Management, économie et gestion, communication ; Sciences humaines et sociales, architecture, sport ; Sciences et ingénierie. Vous pouvez par exemple suivre un master « Actuariat », « Data Analyst », « Insertion et Entreprenariat Social et Solidaire », « Sciences de l’image », « Influence, Lobbying et médias sociaux », « Innovation Design et Luxe »…
L’apprentissage ne se fait pas au détriment de la qualité de l’enseignement. Nous avons les mêmes exigences, les mêmes contenus académiques, les mêmes compétences visées et les mêmes volumes horaires que les formations initiales.
Muriel JougleuxVice-présidente Partenariats et Professionnalisation
Un suivi personnalisé des étudiants en apprentissage
En plus de cette diversité de formation, l’université réinvestit les recettes issues de la taxe d’apprentissage pour enrichir sa pédagogie (salles de réalité virtuelle, plateformes techniques, voyages à l’étranger…) et assure un accompagnement individualisé de ses apprentis. Chaque étudiant en apprentissage est suivi par un tuteur académique qui est aussi un enseignant à plein temps du master. Sa mission : assurer le dialogue avec le maître de stage, réaliser des visites en entreprise (au moins deux par an) et évaluer la progression de l’étudiant en termes de compétences et d’évolution dans sa mission (autonomie, responsabilités…). « Au contraire d’autres établissements, nous ne nous sous-traitons pas ce rôle, précise Muriel Jougleux. C’est très important : les enseignants connaissent les compétences cibles et s’assurent que l’étudiant est bien en position d’acquérir les attendus du diplôme. »
Ce suivi personnalisé des étudiants en apprentissage se traduit également par la plateforme Studea qui permet la traçabilité des échanges et visites en entreprise. Accessible par l’apprenti, le tuteur académique, le responsable de formation et le maître d’apprentissage, elle permet aussi à ce dernier d’évaluer les compétences acquises en situation professionnelle. « Nous proposons aux maîtres d’apprentissage, s’ils le souhaitent, une formation sur ce sujet de l’évaluation, ajoute la vice-présidente. De plus, ils sont invités chaque année à participer à un comité de pilotage pour rencontrer et échanger avec les équipes pédagogiques. »
La mission en entreprise : une exigence
L’accompagnement des apprentis s’étend également dans le choix des missions. « Dans chaque composante nous avons des chargés de développement de l’apprentissage qui ont notamment pour rôle d’aider les étudiants à trouver une entreprise et une mission adéquates. Nous ne prenons pas des apprentis à tout prix : leur mission doit non seulement être adaptée à un diplôme Bac +5 mais aussi être évolutive sur les deux années du contrat et leur permettre de gagner en autonomie et responsabilité. »
Insertion des diplômés de master en apprentissage : les chiffres de l’Université Gustave Eiffel
- Temps d’accès au 1er emploi : 2,6 mois
- Accès au premier emploi en 3 mois ou moins : 71 %
- Taux de chômage à 18 mois : 5 %
- Taux d’emploi stable 18 mois après l’obtention du master : 78 %
- Salaire net mensuel 18 mois après l’obtention du master : 2 460 €
Source :L’insertion des diplômés de master - Observatoire des Formations et des Insertions Professionnelles, Évaluations (OFIPE)
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